LA RONDE DE L'AMITIE...

Regard sur la vie

On voit des choses parfois que l'on croit réel et qu'il ne le sont .
Le rêve fait partie de notre vie
Faut-il , se réveiller un jour
La réalité est souvent très dure à percevoir et nous fait souffrir.
On croit avoir trouvé l'amour que l'on a toujours voulu
et on se lève en ouvrant les yeux déçue.
On se demande alors , si le chemin que l'on parcoure vaut la peine d'être vécu .
On se prive alors , pour les personnes qui nous entourent , mais on le fait parce que
cela fait partie de nous même .
Mais personne , même celui qui nous aime ne fait attention que vous êtes là .
Si l'on est heureuse ou pas .
On a peur d'en finir , pour ceux qui restent
Est-ce de l'égoisme de leurs parts de vouloir nous préserver en vie .
On essaye de faire le bien , autour de nous , c'est peut-être cela qui
nous empêche de passer à trépas .
Peut importe la souffrance , qui nous envahit
Peut-être qu'un jour on se souviendra à quoi on à servit.
Mais la générosité est-il parfois synonyme de stupidité .
Quand on est entouré de tant de cruautés.
Mais je ne regretterais malgré tout pas de tout ce que j'ai pu donner .....!

Chris

Ret tiens-toi plus tranquille ! Charles BAUDELAIRE

Il est des joies comme il est des douleurs qui défient toute description et si le pinceau de l’artiste réussit à montrer toutes les douleurs ou toutes les joies de l’âme, la plume de l'écrivain s’arrête , impuissante , ou se brise de désespoir. 

Sois sage, ô ma douleur, et tiens-toi plus tranquille !

ttp://perso.orange.fr/lestextesdeclara/la_sincerite.htm

MON CHEMIN....

MES COLLINES.

Au bord de la colline...un instant suscité,

Très pur est le silence ...a cessé le vent maître.

Dans un repli du temps, à l'oubli invité,

Je n'attends rien qu'un autre jour à la fenêtre.






Que s'ouvre ma nuit lourde à la chaleur d'été,

Cigales éperdues éblouies de renaître,

Comme brûlent les rocs dans l'odeur irritée

Des tremblements de pins qui se consument d'être.

Jusque sous le soleil enfin épanouie

Que s'ouvre ma caverne aux songes inouïs,

Que bruisse l'espace où la source suinte...






Suffira-t-il, le feu sur les verts térébinthes?

De l'ombre au corps de glace un souffle messager

Anime à tout jamais ce monde passager.

UNE PENSEE , ...ENTREZ....

Asseyez-vous, j'aime qu'on me rende visite,
Moi qui en ai peu,
Et bavardons un peu,Voulez-vous une tasse de café ?
J'ai justement acheté
Quelques petits biscuits chocolatés.
Le café est tout chaud et fumant,
Nous aurons ainsi bien le temps
De le laisser un peu refroidir
Avant de le boire, à gorgées lentes, sans courir.

Vous venez de la nuit froide et humide,
Réchauffez-vous près des bûches qui crépitent.
Pendant ce temps, j'irai me revêtir
De mes plus beaux habits
Pour que ceux qui viendront me rendre visite

j' avait encore bonne mine,
Et , j'étais coquette comme quand j' étais gamine.!!

Restez encore un peu, ...
Car, dehors, le vent souffle trop fort !
Qu'il fait bon en ma maison,
A l'abri de la mauvaise saison !

Seule sous les étoiles, je rêve parfois de les approcher, de les saluer de tout près